Êtes-vous accro à votre souffrance? Le bonheur vous tente?

Quand on analyse bien grayscale photography of man praying on sidewalk with food in frontnotre culture on remarque qu’elle est ancrée sur la négativité et la souffrance. C’est au point où au journal on ne montre que 10 % de choses positives et 90 % de négativité et de souffrance et pourquoi? En quoi ça nous aide? Qu’est-ce que ça nous rapporte? Des émotions fortes! Les films qu’on aime le plus sont les films remplis d’émotions ou qui nous procurent des émotions.

On se dispute parfois avec notre prochain parce que notre malheur nous semble plus grand que l’autre, on dirait presque une compétition.

Quand quelqu’un tente de vous aidez où vous fait une remarque sur le problème on protège, justifie ou explique notre souffrance ou plutôt notre droit de souffrir

« Mais Steve qu’est-ce que tu raconte là? T’est sûr que ça va? »

Je vous raconte la vérité et je sais qu’elle peut arriver comme un coup de poing dans la figure mais c’est bien le cas.

Tout le monde est accro à ce qui le fait souffrir ou à sa souffrance.
Et dés fois ce n’est pas une mauvaise chose…

« Ok, Steve tu perd les pédales-là tu deviens fou ou quoi? »

Quand on utilise sa souffrance comme propulseur pour changer sa vie c’est une excellente chose, si c’est pour se morfondre et prendre le rôle de victime elle est néfaste.

« La guérison d’une souffrance n’a lieu qu’au moment où nous ne voyons plus son utilité »

Je me suis moi-même réalisé à quel point je « tenais » à mon mal-être. Et combien je me privais de certaines choses qui pouvaient m’apporter tellement de joie et de bonheur.

Ce que vous devez savoir c’est que la souffrance est un état d’esprit et la conséquence d’un grand nombre de pensées négatives. Le résultat de notre dialogue interne, les histoires ou excuses qu’on se raconte dans notre tête.

Les raisons qu’on se donnent pour ne pas avoir réussi ceci ou pourquoi on fait ça. Le pourquoi on n’a pas de chance, etc.

Mais il y a des raisons à tout ça:moutons-bisounours

Nous sommes endoctrinés depuis l’enfance à croire que la vie est difficile, dure, injuste, qu’il faut se battre, qu’il faut survivre. Ce qui rend la souffrance « normale ».

J’en attrape des cheveux gris quand j’entends quelqu’un se vider le cœur et que quelqu’un lui répond: « Et oui, c’est ça la vie, c’est pas facile, la vie est injuste,… »

En somme cette personne vient de lui dire « tu as raison d’abandonner ça sert à rien de toute façon ». Le pire c’est qu’on entend des parents tenir les même propos à leurs enfants.

Je connais personnellement une enfant de 11 ans qui pleure quand un chanteur, qu’elle ne connaît, pas est décédé. Juste parce qu’elle pense que c’est ce qu’elle doit faire. Dès qu’on lui explique que ce n’est pas une raison de pleurer elle arrête de pleurer dans la seconde comme ci elle avait un bouton ON/OFF.

Et puis on se plaint des futurs leaders de demain.
Nous sommes les leaders d’aujourd’hui c’est notre faute que ces jeunes sont comme ça!
Nous avons engendré cette génération « défectueuse » (pour utiliser les mots que j’ai déjà entendus)

On nous a appris qu’on ne sait pas réellement changer notre situation, parce qu’on n’as pas le contrôle de notre vie. Mais c’est écrit où ça? Ces croyances limitantes nous amènent à croire que notre souffrance est bien réelle…

Et ce sera le cas jusqu’au jour ou vous mettrez tout ça en doute.

La vie ne nous arrive pas, elle arrive pour nous. À nous de la façonner à notre goût et non à ce que les autres pensent que notre vie devrait être.

« Oui, mais Steve tu va loin là. Avec toutes les choses terribles qui se passent sur cette terre, on est obligatoirement en souffrance, non? »

Peut-être, mais le but de notre existence est de vivre dans la joie et la prospérité.

Nous ne sommes pas nés sur cette terre pour souffrir et survivre. nous sommes nés ici pour être heureux et VIVRE.photo of woman looking at the mirror

Il faut vouloir aller à l’encontre de tout ce qu’on croit connaître et tenter l’expérience.

Le bonheur est un choix

Ça ne vous arrive pas, ça ne vous tombe pas dessus.
Vous prenez la décision d’être heureux.

Et ceci sans qu’un élément externe y joue un rôle

Maintenant la première fois que j’ai entendu ça je me suis dit que c’était n’importe quoi et je l’ai même pris pour une attaque personnelle car pour moi c’était comme ci on me disait que tout ce qui m’est arrivé était de ma faute. Et en fait c’est le cas! Jusqu’au jour ou à mes yeux je n’avais plus rien à perdre et que j’ai décidé de passer ce cap.

Depuis lors je suis beaucoup plus joyeux, vivant, motivé, etc. JE VIS!

Vous êtes responsable de votre bonheur quoi qu’il se passe à la télé, au travail, avec vos proches ou les gens que vous ne connaissez même pas.

On ne combat pas le mal par le mal, mais avec la lumière l’obscurité de dissout.

Et c’est bien plus facile que vous ne croyez ou que vous le voulez.

Quand nous sommes heureux ça se voit et c’est contagieux.
Devenez une source d’inspiration pour les autres.

L’intérêt réel du mal-être et de la souffrance sont qu’ils nous poussent à vouloir autre chose. Ils nous poussent à vouloir être heureux.

On ne peut connaître et apprécier la lumière qu’en ayant connu l’obscurité.

La souffrance prouve son utilité quand on s’en sert comme tremplin pour atteindre quelque chose de meilleur. C’est alors que nous commençons à CHOISIR quelque chose de différent.

En vérité, nous n’avons pas besoin de cette souffrance pour atteindre cet objectif, nous pouvons choisir de vivre notre vie dans le bonheur et l’abondance, dès maintenant. Ce qui ne veut pas dire que ce sera facile, mais ça en vaut le coup.

Il est tout à fait possible de choisir d’être heureux MALGRÉ les difficultés de la vie.

« C’est ça oui, et tu nous explique comment on fait ça, avec toute cette cruauté et cette souffrance sur cette terre? »

La réponse est simple.

En se focalisant sur soi, d’abord.

Pour vous citer un grand homme:

« Devenez le changement que vous souhaitez voir sur cette terre » ~ Gandhi

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Mahatma Gandhi

 

Le monde tel qu’il est, parce qu’il est la représentation de notre état d’esprit.

Si on serait plus axé sur la positivité et le bonheur la terre aurait un tout autre aspect.

Voici quelques petits conseils pour vous aider à vous focalisez sur les bonnes choses dans votre vie quotidienne:

  • Pratiquez la gratitude, citez toutes les choses pour lesquelles vous êtes reconnaissant, aussi petites qu’elles soient
  • Consacre 1h/jour à faire quelque chose qui vous plaît
  • Dites quelque chose de gentil à quelqu’un 1 fois par jour
  • Souriez aux autres sans raisons
  • Agissez comme un enfant qui s’amuse
  • Suivez ma formation « Le Bonheur au Quotidien » qui est basé sur la reprogrammation de soi.

 

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Mais ces choses sont faciles à faire quand tout va bien.

« Mais, quand les choses ne vont pas bien on fait quoi? »

Posez vous cette seule question:

À quel point voulez-vous être libéré de votre souffrance?

Une personne qui ne VEUT pas (c’est un choix) être heureuse ne se casserait pas la tête à lire un article comme celui-ci jusqu’au bout. D’ailleurs, je vous en félicite d’être encore là.

En vérité, nombreux sont les personnes qui veulent garder leur mal-être et leur souffrance. Elles ont beaucoup à y gagner de rester malheureuses. Il y des bénéfices comme la pitié, le soutien (moral, financier, mental ou physique), l’attention qu’on obtient, les excuses qu’on peut créer pour expliquer pourquoi ça ne marche pas pour nous, etc. On est moins confronté à notre propre responsabilité.

Mais il est bien plus important de développer l’habitude d’être heureux et joyeux lorsque tout va bien parce que ça nous donne une base solide.

Être heureux et souffrir est comme un muscle qu’on entraîne à force de s’entraîner ça devient plus facile. Mais il faut décider de faire les bons exercices pour entraîner le bon muscle.

En résumé, comment se sentir bien quand rien ne va dans le monde?

  1. Il faut décider. Le bien-être est un choix qui doit se faire.
  2. Maintenir son choix. Jour après jour.
  3. Se rappeler que le bonheur est le chemin, pas la destination.
  4. Continuer à choisir le bonheur.

Nous n’avons que deux choix: Être heureux ou être malheureux.

Et vous? Qu’avez-vous décidé?

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